Liste des ouvrages - Participer   Liens

Recherche  

Coups de coeur  

Tous les coups de coeur


Session  
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Kikekoi  
L'équipe
Contact

Ailleurs  
Manifestation le 3 mars 2020 contre la réforme des retraites et le 49.3 (solidaires08)
Manifestion jeudi 6 février contre la réforme des retraites (solidaires08)
Manifestation contre la réforme des retraites mercredi 29 janvier 2020 (solidaires08)
Les prochaines manifestations contre la réforme des retraites à Charleville (solidaires08)
Pour l’amélioration des pensions ! Pour le maintien des régimes existants et de nos droits ! Toutes et tous mobilisé-es et déterminé-es pour le retrait du projet de réforme de notre système de retraite ! En GRÈVE ce mardi 17 décembre ! (solidaires08)



 

La guerre du Mein (Acacia - Tome 1)

 
  Durham, David Anthony
Edition : Pocket 2010, 940 pages ISBN : 978-2266192859 12,50
 

Les Meins sont exilés dans le Nord depuis vingt deux générations. Depuis vingt deux générations, l'empire acacian régit le Monde Connu. Toutefois cette situation est insupportable aux trois frères Mein, poussés de surcroît par la fureur des Tunishnevres, leurs ancêtres non-morts. Aussi Thasren Mein se sacrifie-t'il pour tuer le roi Leodan Akaran, cependant que ses frères Hanish et Maeander mettent l'empire à feu et à sang, avec l'aide de leurs alliés, les Numreks.

Les sauvegardes que le roi Leodan avait prévues pour ses quatre enfants ne les protégeront pas tous, et Corinn, la belle princesse, se retrouve captive de Hanish Mein dans le propre palais où elle est née, cependant que ses deux frères et sa soeur disparaissent du coeur de l'empire, se rendant ainsi introuvables même par les limiers dépêchés sur leurs traces par les Meins.

Cette saga d'envergure est intéressante à plus d'un titre : par les personnages d'abord, qui sont denses, complexes et cohérents à la fois, notamment Hanish et Corinn ; par le cadre, puisqu'une grande partie de l'action se déroule sur un continent qui évoque l'Afrique, peu exploitée par la fantasy jusqu'à présent ; par les formes de magie en cause, personnifiées par les Tunishnevres et les Hérauts de Santoth.

L'équilibre entre scènes d'action et scènes plus contemplatives est bon, et l'auteur n'abuse pas des scènes de massacre, même s'il est capable d'en écrire de façon puissante. En général, d'ailleurs, l'écriture a une force d'évocation qui emporte le lecteur, faisant de cette histoire une plongée dans un autre monde, à la fois proche et différent, qu'il est difficile de quitter une fois qu'on y est entré.

Ecrite par Mureliane, le 10 Juin 2010 à 14:06 dans la rubrique Roman Fantasy .
Commenter cette chronique







© 2001-2011 - Les Chroniques de l'Imaginaire. Tous droits réservés.
Biz : moteur Niutopia, WongLi : code, Arsenik_ : adaptation skin
Design © 2003 yassineb