Biomega (Tome 1)
		Tsutomu, Nihei Edition : Glénat, Collection : Seinen 2009, 186 pages ISBN : 978-2-7234-6648-6 7,50 €

Tout commence en 3005 sur Mars où deux hommes en combinaison spatiale rencontrent dans une colonie abandonnée sans oxygène une femme sans casque ni combinaison.

Six mois plus tard, sur Terre, un motard envoyé par la Toha industrie souhaite entrer dans un quartier de lile 9JO qui vient de passer en quarantaine afin de participer au plan de nettoyage. Le périmètre étant en isolement pour cause dépidémie notre héros ne pourra en ressortir sans autorisation spéciale.

Sa moto reliée à une IA linforme de présences humaines mais très probablement infectées par le virus N5S. Cest en se rendant sur place que Zoichi Kanoe (notre héros) croise des drones (humain ayant contracté le virus N5S et se transformant progressivement en espèce de zombie) et à un accident. Il renverse une jeune fille apparemment saine. S'en suit un combat entre Zoichi et des drones voulant sapprocher de la jeune fille blessée. Lorsque que Zoichi fini par sen approcher elle guérie miraculeusement et un ours parlant armé dun fusil vient la chercher. Il pense que Zoichi est un agent de la santé publique venue enlever Ion (la jeune fille). Très vite il finit par se rendre compte que notre héros est un être de synthèse. Kozlov (lours) et Ion finissent par senfuir. Zoichi perd leurs traces mais Fuyu Kanoe (lIA de la moto) se lance dans des recherches et découvre le nom et ladresse exacte dIon. Elle suppose aussi que Ion à été contaminé par le virus mais y est immunisé, ce qui pourrait expliquer sa guérison

Que dire de ce premier tome si ce nest quon y retrouve la griffe de Tsutomu Nihei. Avec des graphismes mélangeant coup de crayon et dessin très « propre » net et plein de détails. Un héros, Zoichi Kanoe, ressemblant fortement au héro de Blame (Killy).

Sinon lhistoire commence sur du classique : un héros, un virus, quelquun dimmunisé à protéger et des « zombies ». Malgrès cela on attend la suite pour savoir comment va évoluer lintrigue.