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L'étoile de la Désolation (Trinity Blood - Tome 1)

 
  Yoshida, Sunao
Edition : Hachette 2008, 281 pages ISBN : 978-2012015715 18
 

Ce roman reprend complètement l'histoire du premier tome du manga :
Dans une terre dévastée par l'Armageddon, les humains luttent contre la domination de vampires, appelés Methuselah, qui se disputent la quasi-intégralité de la technologie avec le Vatican, seul organisme humain à avoir survécu.

Et c'est à la frontière entre les terres humaines et l'Empire des Methuselah, dans le petit village d'Itsvàn, que tout va se jouer, car le vampire Jyula, marquis de Hongrie, qui domine le Conseil humain du village, a construit une étoile de la Désolation grâce à laquelle il pourrait détruire Rome et le Vatican ou toute autre ville sur le globe.

Abel Nightroad, envoyé du Vatican et prêtre maladroit, va enquêter sur Gyula, aidé en cela par Esther Blanchette, novice du couvent du village et chef des Partisan, les rebelles humains qui luttent contre Gyula le vampire...

Contrairement au manga, le roman a le mérite d'être plus clair : au lieu d'être découpée en six ou huit épisodes, l'histoire est racontée de façon linéaire, en suivant la chronologie de l'action. L'intrigue apparaît de façon plus directe, les métamorphoses d'Abel, puis celles du père Très Iqus sont plus évidentes et on en vient même à s'étonner de la naïveté d'Esther qui ne réalise pas que son compagnon n'est pas ce qu'il paraît. L'intrigue est plus construite que dans le shonen, les faits semblent plus logiques dans leur déroulement et leurs actions.

Toutefois, de nombreux points faibles m'ont déroutée : l'emploi à outrance de termes anglais, peut-être pour donner un genre à la Matrix au style, avec une surabondance de « tuned », « bullet time », etc. pour expliquer les transformations et actions des personnages. L'humour potache dont ceux-ci abusent parfois est également assez perturbant, puisqu'il ne cadre pas du tout avec l'approche gothique et parfois même un peu pédante des descriptions de l'auteur.

Les héros, en fait, semblent souffrir, être gravement blessés et se battre pour leur vie, tout en continuant à émettre des répliques dignes d'une série Z...
Bon, on aime ou on aime pas, je trouve que, comme le manga, ce roman avait du potentiel et, si les défauts diffèrent de ceux du shonen, d'autres les remplacent qui nuisent à l'originalité de l'intrigue.

Ecrite par Zaahne, le 02 Décembre 2008 à 09:12 dans la rubrique Roman Inclassable .
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