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Vyshaya, mera, marina (Sam Lawry - Tome 5) |
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Richez & Chetville Edition : Bamboo, Collection : Focus
2008, 48 pages
ISBN : 978-2-35078-273-7
10,40 € |
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Dans un camp russe, Sam Lawry est pieds et poins liés, assis sur une chaise, la torse nu et des électrodes attachées dessus. Ses hôtes désirent obtenir des informations. Des informations capitales dans cette guerre froide des années 70. Et même si Sam prétend ne rien savoir du tout, il va falloir qu'il trouve une histoire plausible à raconter. Deux mois auparavant, un homme arrive au Stanfield Research Institute, Peter Schelitz. Il a été recruté par la CIA pour ses capacités à voir ce qu'il se passe dans des lieux dans lesquels il ne se trouve pas. Et depuis son arrivée, le pourcentage de réussite des opérations menées en remote viewing a fortement grimpé. Aussi, quand il va réussir à pénétrer l'installation la plus secrète de l'URSS, les grosses huiles ne vont tout d'abord pas en croire leurs oreilles pour, finalement, voir ce qu'elles pourraient en retirer. Et pendant ce temps, Sam Lawry est enfermé dans un hôpital psychiatrique. Je ne connaissais cette série que de nom. Et, après la lecture de ce cinquième tome, cela m'a donné envie de découvrir les débuts de Sam. Ces personnes, dotées de pouvoirs psychiques et utilisées par les gouvernements en pleine guerre froide, ne tombe jamais dans le fantastique grandiloquent. C'est même amené d'une telle manière qu'on ne peut même pas penser que cela n'existe pas. C'est naturel. C'est comme ça. Je pense que je n'arrive pas au meilleur moment de la vie de Sam pour faire connaissance avec lui, mais toutes les histoires qui gravitent autour de lui et son pouvoir son pationnantes. Une nouvelle fois, on retrouve Chetville au dessin, qui va devoir faire des heures supplémentaires pour ne pas trop nous faire attendre pour avoir la suite de Sam Lawry et Sienna. Au scénario, on retrouve Hervé Richez, le directeur de la collection Grand Angle. Et il semble bien maîtrisé son personnage et son intrigue. En tous cas, c'est passionant. Et, même si comme moi on n'a pas lu le début, on plonge au bout de deux planches dans cet univers tendu à l'extrême et où la vie d'un homme compte bien moins que des secrets d'état. Une fiction ?
Ecrite par , le 15 Octobre 2008 à 19:10 dans la rubrique .
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