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Renaissance (New York - Tome 1) |
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Corbeyran & Defali Edition : Glénat, Collection : Grafica
2008, 52 pages
ISBN : 978-2-7234-5906-8
12,50 € |
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Charles Kosinski, son fils, Zack et Andy Miller sont tous les trois dans une chambre d'hôpital. Alors que l'enfant dort, les deux hommes discutent de manière un rien trop sérieuse. Il semble que des choses importantes se passent et ne laissent pas le choix à Charles sur la conduite à suivre. C'est ainsi qu'une injection va être faite à Zack, qui va le plonger dans un coma profond. Charles au docteur Miller de veiller sur lui. Parce que Charles va recevoir une autre injection à sa demande, létale celle-ci. Dix années ont passé et Zack se réveille doucement. Malgré un soin attentif, lorsqu'il essaye de se mettre debout, ses muscles ne suivent pas et il tombe au sol. Une belle infirmière noire arrive à son secours. Elle s'appelle Tia Brown, s'occupe de lui depuis six mois et lui avoue qu'il a dormi dix ans. Elle l'appelle aussi Jonathan, nom qui figure dans son dossier. Même s'il ne se rappelle pas son prénom, Jonathan est perplexe parce que ce prénom en particulier ne lui rappelle vraiment rien. Commence alors une longue rééducation, une découverte de la vie et une recherche de son passé. Pas simple lorsque les pistes ont été brouillées. Voici le troisième premier tome des séries intégrant la série maîtresse Uchronie(s). Il était attendu parce qu'on y retrouve le couple Corbeyran/Defali, dont on a l'habitude maintenant. On retrouve sans problème tout ce qu'on aime dans le trait de Defali. Des encrages bien prononcés, une manière de dessiner les personnages que l'on reconnaît facilement, des cadrages intéressants et des détails qui fourmillent. Au niveau du scénario, moi qui commençais à mettre des pièces en place après la lecture des deux premiers " premiers " tomes, j'avoue que je ne sais plus ce qu'il faut en penser. À part quelques détails en commun, New York n'intègre pas aussi facilement le fil des trois séries. Mais je ne doute pas une seule seconde que cet éloignement n'est là que pour nous rapprocher par la suite. Il suffit d'être patient. C'est comme si on voulait tout savoir d'une série dès le premier tome. Enfin, en tous cas, on peut dire que Corbeyran a réussi à susciter l'intérêt pour les trois séries parallèles. Il ne lui reste plus, ainsi qu'à ses compères, qu'à nous sortir rapidement les suites, histoire que l'on en découvre un peu plus sur ses villes parallèles qui sont en fait les mêmes.
Ecrite par , le 26 Juin 2008 à 06:06 dans la rubrique .
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