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Le nain qui disparaissait |
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Blaylock, James P. Edition : J'ai Lu, Collection : Fantasy
317 pages
ISBN : 2-290-31048-4
Catégorie K |
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Jonathan Bing veut devenir un oisif. Il s'achète alors le costume adéquat, tout de blanc, et commence sa nouvelle vie. Mais bien vite, il va se lasser de ne rien faire et que Dooly le compare sans cesse à un gibbon dans son costume. Il délaisse alors sa panoplie pour la remettre à Dooly, qui lui n'en a cure de ressembler à un gibbon. Il retourne alors à son métier de fromager d'Havreville. Il est alors bien content lorsque son ami, le professeur Wurzle, lui propose de l'accompagné dans son voyage. Il a en effet découvert la carte de souterrains du château de Hautetour. Connaissant bien l'endroit pour y avoir déjà affronté le nain Selznak, ils décident tous les deux de se lancer dans l'exploration de ces souterrains. Mais, bien vite, ils vont se rendre compte que cette exploration ne pourra s'accomplir seuls. Qui pourraient les accompagner mieux que le chevalier Myrkle ? Mais voilà que les nouvelles glanées aidant, ils découvrent que Myrkle a disparu. Ou bien a-t-il été enlevé ? Ils partent alors à la recherche de leur ancien compagnon de voyage... Le nain qui disparaissait est un roman très particulier. D'un style d'écriture demandant forte concentration, l'intrigue n'est pas plus simple. Les actions décrites sont toutes celles qui ne seraient pas décrites habituellement. Je ne suis pas le plus difficile, mais j'ai vraiment eu du mal à accrocher à ce livre. Cependant, d'aucun diront que c'est un livre distrayant. Et je n'en doute pas, seulement, il n'a pas su me captiver.
Ecrite par , le 01 Novembre 2001 à 10:11 dans la rubrique .
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Le lecteur qui disparaissait?
Ecrit par le 18 Novembre 2001
Dans un moment de désoeuvrement, j'ai moi aussi fait l'acquisition de ce roman qui me semblait assez particulier pour satisfaire mes appétits fantasques. Après lecture, j'avoue que je suis assez d'accord avec la précédente chronique. Déroutant, voila le maître mot de ce roman, et sans être particulièrement difficile en matière de romans, celui-ci m'a plutôt fait mauvaise impression, tant l'écriture était alambiquée et l'action décrite hors de propos. A trop chercher l'originalité, l'auteur aurait-il perdu de vue la nécessité d'une intrigue bien construite et d'un style clair ?
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