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Amakusa 1637 (Tome 2) |
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Akaishi, Michiyo Edition : Akiko
2005, 189 pages
ISBN : 2-7545-0003-0
6,95 € |
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Natsuki, alias Shiro, est aux prises avec des bandits qui s'attaquaient à une jeune fille, mais un homme vient lui prêter main forte. De part son coup d'épée, Natsuki reconnait son amoureux, Miyamoto Masaki. Cependant ce dernier le nie, et se présente comme Miyamoto Musashi, le plus célèbre bretteur de tous les temps. Stupéfaction chez sa fiancée qui veut en avoir le coeur net. La vision du dos dénudé de Miyamoto lui en fournit la preuve : celui-ci porte bien les cicatrices que le plafond de la salle d'entraînement lui avait fait en 1995 lorsqu'il avait sauvé Natsuki pour la première fois. Pourtant il ne se souvient pas de tout cela, et Natsuki comprend qu'il est devenu amnésique. Ce que ne comprend surtout pas la jeune fille, c'est qu'Eri lui avait dit que Musashi devait avoir la cinquantaine, or son Miyamoto n'a qu'une vingtaine d'années. L'histoire aurait-elle déjà changé ? Un deuxième tome dans la lignée du premier : efficace. Yatsura continue sa chasse aux chrétiens, mais commence à se demander si Natsuki n'est pas véritablement celle qu'il a connu, et non Shiro qu'il a tué. Miyamoto quant à lui ne peut croire celle dont il ne se rappelle plus rien, même si sa technique de sabre lui est étrangement familière. Dans le récit, un personnage secondaire commence à dévoiler son talent. Ginji, l'ancien ami du véritable Shiro et maintenant protecteur de Saint François, tire avec son pistolet droit dans la cible. Natsuki quant à elle démontre son plus grand défaut : elle ne peut pas tuer, ne frappant qu'avec le plat de la lame. Le récit s'attarde aussi sur les horreurs du peuple chrétien d'Amakusa et de Shimabara, renforçant la détermination des habitants du XXIème siècle à faire quelque chose. D'autres rencontres importantes pour la suite se feront entre Shiro et les grands de ce pays. Après l'introduction du premier opus, ce sont les grandes lignes directrices qui s'installent. Un épisode clé qui se lit vite tant l'on ne peut décrocher les yeux de ses pages. Et le côté shojô, présent pour chaque personnage à sa manière - je pense notemment à Yatsura, n'est toujours pas trop marqué.
Ecrite par , le 17 Juillet 2007 à 09:07 dans la rubrique .
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