Liste des ouvrages - Participer   Liens

Recherche  

Coups de coeur  

Tous les coups de coeur


Session  
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Kikekoi  
L'équipe
Contact

Ailleurs  
Manifestation le 3 mars 2020 contre la réforme des retraites et le 49.3 (solidaires08)
Manifestion jeudi 6 février contre la réforme des retraites (solidaires08)
Manifestation contre la réforme des retraites mercredi 29 janvier 2020 (solidaires08)
Les prochaines manifestations contre la réforme des retraites à Charleville (solidaires08)
Pour l’amélioration des pensions ! Pour le maintien des régimes existants et de nos droits ! Toutes et tous mobilisé-es et déterminé-es pour le retrait du projet de réforme de notre système de retraite ! En GRÈVE ce mardi 17 décembre ! (solidaires08)



 

Le Château ambulant (Tome 4)

 
  Miyazaki & Bakayaro!
Edition : Glénat 2006, 166 pages ISBN : 2-7234-5305-7 8,99
 

C'est un anime comics donc une bande dessinée un peu particulière que nous avons là : composée d'images de dessin animé Le Château ambulant, écrit et réalisé par Hayao Miyazaki à partir de l'uvre de Diana Wynne Jones. Force est de constater que le choix de la forme a été un peu pris à la légère puisque les cases sont placées de façon très classique, le découpage adopte une mise en page plutôt banale et automatique. En somme, on ne peut qu'être déçu par cette optique bien loin d'être aussi élaborée que dans nombre d'autres anime comics qui en deviennent d'autant plus intéressant malgré un matériau de départ plus anodin, moins prestigieux.

Reste l'uvre d'animation qui, bien entendu, est une réussite et cela permet de rattraper la déception à la lecture de cette transposition bien peu ambitieuse. Dans ce quatrième et dernier tome de l'adaptation du film d'animation, Sophie et Howl vont être séparés par la guerre. Calcifer va faire de son mieux pour répondre aux désirs de Sophie mais la Sorcière des Landes ne l'entend pas de cette manière et va risquer de provoquer une catastrophe. Et en passant, Sophie intervient dans le passé de Howl, le marquant à jamais.

Le récit se termine de manière peut-être un peu expéditive mais les bons sentiments sont de rigueur chez Miyazaki et l'on ne pourra s'en étonner. Outre le récit, la possibilité d'admirer les belles images nous remémorant le film d'animation rattrape la déception devant cette mise en page si conventionnelle, si plate, véritable point noir du volume.

Ecrite par Michel Islor, le 24 Juillet 2006 à 12:07 dans la rubrique BD Manga .
Commenter cette chronique







© 2001-2011 - Les Chroniques de l'Imaginaire. Tous droits réservés.
Biz : moteur Niutopia, WongLi : code, Arsenik_ : adaptation skin
Design © 2003 yassineb