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La Tour Sombre (Tome 7) |
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King, Stephen Edition : J'ai Lu
2005, 952 pages
ISBN : 2-290-33251-8
29,50 € |
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Entendez vous le chant de la rose comme il se fait plus fort, comme il brouille vos pensées. La Tour Sombre est là, au bout du chemin, elle appelle Roland, lensorcelle. Et nous le suivons, comme nous le faisons depuis le début de sa quête. Voici trente ans, trente cinq ans que Roland de Gilead est apparu à Stephen King en lisant le poème de Robert Browning, Le chevalier Roland sen vint à la Tour Sombre. Et depuis trente ans, Roland en a parcouru des contrées plus ou moins hostiles, a rencontrés des gens merveilleux ou haineux et a trouvé son Ka-tet. Un Ka-tet qui lui a tout donné et qui est prêt à tout pour Roland et la Tour Sombre, leur vie même appartient à la Tour Sombre. Vous avez devant vous une fan inconditionnelle de Stephen King ! Je ne peux pas être objective et je le reconnais ! Et donc je vous préviens tout de suite avant daller plus loin ! Si vous me lisez de deux choses lune soit vous êtes tombé sur cette chronique par hasard, sans vraiment être intéressé par la Tour Sombre, une tour dont vous navez peut être rien à faire et donc vous pouvez plutôt allez lire les chroniques de mes collègues, soit vous aussi vous avez suivit Roland à travers le désert, vous avez vu Jake mourir, vous avez souffert pendant le sevrage dEddie et vous vous êtes battu contre les démons de Suzie. Dans ce second cas, est-il besoin de vous parlez de ce qui se passe dans ce tome ? Non ... je ne pense pas ... vous aussi vous venez de le dévorer. Vous nen pouviez plus de seulement rêver de la Tour Sombre sans la voir, le chemin vous a paru long, beaucoup dentre nous ont cru ne jamais y arriver, dautres se sont arrêté en court de chemin, dans une Calla de lEntre deux monde et dautre encore voulait attendre que toute lhistoire soit donné a Stephen King afin quil nous la livre comme Gan lui a livré pour faire le chemin dune traite, sans escale. Personnellement jai aimé ce tome dun bout à lautre (je vous lai dis je ne suis pas objective ;-) ), je reconnais bien sur quil y a quelques longueurs, notamment tout le début depuis la course effrénée pour sauvez Suzie des ignobles jusqu'à la bataille qui doit libérer le dernier rayon des briseurs. Mais Stephen King ne nous a-t-il pas habitué à ce genre de départ pour finir en apogée à chaque fois ? L'auteur dis lui-même que cette saga est la Jupiter du système solaire de son imaginaire, je dirai quil EST son imaginaire. Il a su replacer dans ces sept tomes nombreux de ces personnages soi-disant de roman autre que la Tour Sombre, ou bien est-ce linverse ? Dans ses autres romans tel que Salem, Insomnie ou Curs perdus en Atlantide, ne nous montre-t-il pas un autre pan de vie des personnages de la Tour Sombre ? Je dirai que ceci reviendrai à savoir qui de la poule ou de luf est venu le premier ! Lui-même ne le sait peut être pas, et noublions pas que le Ka est une roue qui tourne ! De même quil se met de plus en plus en scène et se sert de son accident du 19 juin 1999 pour alimenter les derniers tomes (le ka-tet devient le ka-tet de 19 et ce chiffre ainsi que 99 reviennent de plus en plus). Son accident fait maintenant partie intégrante de lhistoire de la Tour et je dis : oui, grand merci, si cela vous sied. Car imaginez 15 secondes, non 10 secondes, que cet accident eut été mortel ... Vous nous voyez tous, nous lecteurs de la Tour Sombre, planté sur le bord dun chemin, celui la même qui mène a Calla Bryn Sturgis ? Bloqué la à ne rien pouvoir faire quattendre infiniment ? Gan lui a accordé la survie, cétait un signe pour sauver la Tour Sombre et les rayons car sans lui plus de Tour Sombre et tous les univers étaient appelés a aller Vaadash. Grand merci, la Tour est belle et bien là, à portée de regard, Roland va y entrer seul car lui et lui seul peut gravir les marches et atteindre son sommet. Depuis le champ de roses nous ne pouvons quimaginer ce quelle renferme entre ses vieilles pierres noircies par le temps. Et cest ceci le merveilleux : imaginer ! Ne pas vouloir une fin bien carrée, bien propre sur elle, mais revenir en soir, refaire le parcours car ne loubliez pas : le Ka est une roue. Que vos jours soient longs et vos nuits plaisantes. Aïle Pistolero !
Ecrite par , le 24 Octobre 2005 à 21:10 dans la rubrique .
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