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Lanfeust de Troy, l'ivoire du Magohamoth |
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Arleston & Tarquin Edition : Hachette
2003, 284 pages
ISBN :2-0120-0869-0
18 €
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Lanfeust est un jeune apprenti forgeron, dont le destin bascule le jour où il met la main sur une épée qui lui confère instantanément le pouvoir absolu, celui d'utiliser tous les pouvoirs à la fois. Il se révèle que le pouvoir ne vient pas de l'épée, mais de son pommeau. En effet, celui ci est sculpté dans un ivoire bien particulier : l'ivoire du magohamoth, source de toute magie dans le monde de Troy. Devant un tel phénomène, unique dans les annales de Troy, Lanfeust et le sage Nicolède, accompagné de ses deux filles, entreprennent le voyage jusqu'à la ville d'Eckmül où ils veulent soumettre le cas de Lanfeust aux trois érudits, hautes autorités du monde de Troy. Leur voyage sera parsemé d'embûches et de péripéties. Détroussés par un voleur, ils se retrouvent nez à nez avec un troll, espèce au demeurant fort sympathique dès que les spécimens qui la composent sont enchantés. Hébus devient donc leur nouveau compagnon de voyage, et il se révèle fort précieux dans les contrées dangereuses qu'ils traversent. Un roman qui reprend quasi fidèlement la première BD qui compose le cycle de Troy. On y fait la connaissance de Lanfeust, forgeron au coeur d'or mais un peu benêt, du sage Nicolède et de ses deux filles C'Ian et Cixi, au caractère diamétralement opposé, du troll Hébus, mais surtout du monde magique de Troy. Sur cette base, Arleston et Tarquin ont réussi à développer une histoire pleine d'humour et de rebondissements, où on découvre petit à petit que le monde de Troy regorge de choses vraiment bizares, et d'habitants souvent plus bizares encore. Un passage réussi donc de la BD au roman, avec trois bémols : - Le format du livre et la taille des caractères utilisés. Beaucoup trop gros, ce qui donne un bouquin de 284 pages, alors qu'une police plus petite aurait suffit pour le confort de la lecture.
- Le prix : pour ceux qui ont déjà les BD, payer 18 Euros pour avoir la même histoire, ça fait clairement trop commercial. D'autant qu'on en revient à ma critique précédente, un livre moins épais aurait coûté moins cher.
- Et la dernière chose : pourquoi n'y a-t-il pas eu de suite ? Ou d'édition en poche ?
Ecrite par , le 19 Septembre 2005 à 15:09 dans la rubrique .
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