Liste des ouvrages - Participer   Liens

Recherche  

Coups de coeur  

Tous les coups de coeur


Session  
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Kikekoi  
L'équipe
Contact

Ailleurs  
Manifestation le 3 mars 2020 contre la réforme des retraites et le 49.3 (solidaires08)
Manifestion jeudi 6 février contre la réforme des retraites (solidaires08)
Manifestation contre la réforme des retraites mercredi 29 janvier 2020 (solidaires08)
Les prochaines manifestations contre la réforme des retraites à Charleville (solidaires08)
Pour l’amélioration des pensions ! Pour le maintien des régimes existants et de nos droits ! Toutes et tous mobilisé-es et déterminé-es pour le retrait du projet de réforme de notre système de retraite ! En GRÈVE ce mardi 17 décembre ! (solidaires08)



 

Stabat Mater

 
  Omond & Beuzelin
Edition : Delcourt 2005, 48 pages ISBN : 2-84789-715-1 12,50
 

Les émotions lui glissent dessus et les sentiments ne sont qu'une légende. Notre héros est incapable de ressentir quoi que ce soit dans le domaine de l'affectif et semble en souffrir. Alors, il se cherche et se provoque. Et quoi de mieux que de photographier les corps sans vie que récupère la police pour cela ? Mais même ça ne semble rien y faire. Toutefois, alors qu'il se rend dans un quartier pourri pour faire des photos d'un corps, il se retrouve devant une boutique qui indique un spectacle de femme nue.

Intrigué par le lieu et l'ambiance, il revient le soir et là, il se passe quelque chose. Sans savoir réellement quoi, il est touché. Alors, il revient et revient encore, jusqu'au jour où son plaisir va lui être enlevé.

Stabat Mater, c'est avant tout une ambiance. Une ambiance sombre, glauque et malsaine, parfois à la limite. Mais c'est une ambiance très bien posée. L'homme sans nom et sans sentiments est assez loin de nous puisque nous ne pouvons pas savoir ce qu'il vit. Par contre, tout ce qui l'entoure peut nous toucher, jusqu'à cette salle dégueulasse dans laquelle il va trouver les prémisses de son salut. L'enquête est menée de manière simple, mais elle n'est pas le centre de l'histoire. C'est vraiment tout une question d'ambiance.

Et, personnellement, j'ai trouvé la fin belle et touchante.

Ecrite par WongLi, le 04 Juillet 2005 à 14:07 dans la rubrique BD .
Commenter cette chronique







© 2001-2011 - Les Chroniques de l'Imaginaire. Tous droits réservés.
Biz : moteur Niutopia, WongLi : code, Arsenik_ : adaptation skin
Design © 2003 yassineb