|
Recherche |
|
|
Coups de coeur
|
|
|
Session |
|
|
Kikekoi |
|
|
Ailleurs |
|
(solidaires08)
(solidaires08)
(solidaires08)
(solidaires08)
(solidaires08)
|
|
|
  |
La dimension des ombres (La guerre des ténèbres - Tome 2) |
  |
|
  |
Feist, Raymond E. Edition : Bragelonne
2010, 380 pages
ISBN : 9782352943891
22 € |
  |
Dans ce deuxième volet de la Guerre des Ténèbres, on retrouve le célèbre magicien Pug encore et toujours aux prises avec le Mal et son Dieu, tant sur Midkemia ou Kelewan que dans les dimensions inférieures. Toujours à la poursuite du malfaisant Leso Varen, il va suivre les instructions qu'il se donne lui-même depuis le futur et se rendre dans l’univers des Dasatis, des guerriers sanguinaires qui ne connaissent ni compassion - ils ont oublié la notion même du Bien -, ni peur, car ce serait faire preuve de faiblesse. On perd malheureusement un peu de vue Caleb, son fils, qui reste sur l'île du Sorcier pour veiller à la bonne marche du Conclave des Ombres et de ses magiciens. Mais l'espace laissé par celui-ci dans la trame narrative est profitablement exploité par ses fils adoptifs, Tad, Zane et Jommy, dont les formations théorique et pratique à l'université de Roldem, puis au sein de son armée, multiplient les situations aventureuses, le suspense et le cocasse. Miranda quant à elle se retrouve aux prises avec les « Très Puissants », les mages de Kelewan, qui n'ont pas l'habitude de communiquer avec les femmes, surtout si elles sont autant voire plus capables qu'eux... Et finalement Nakor s'occupe toujours de Ralan Bek, cet humain aux capacités hors du commun, qui abrite peut-être en lui une parcelle du Dieu du Mal... Bref, La Dimension des Ombres est un roman aussi bondissant que le tome premier, dont on aime toujours les personnages et les péripéties. Un plus tout particulier en faveur du nouveau monde crée pour les Dasatis et ses descriptions foisonnantes qui rendent bien l'ambiance et les moeurs locales. Par contre, certains lecteurs des précédentes sagas montrent un peu de lassitude et souhaiteraient de Raymond E. Feist un changement de décor, mais personnellement j'en redemande !
Ecrite par , le 25 Novembre 2010 à 12:11 dans la rubrique .
|