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Inu-Yasha (Tome 41) |
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Takahashi, Rumiko Edition : Kana
2010, 190 pages
ISBN : 978-2-5050-0895-8
6,25 € |
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Si Inu-Yasha possède à présent un nouveau Tessaïga, celui issu de Ryûrin, il est plus qu'à double tranchant. Car si le porteur n'est pas assez puissant par lui-même pour l'utiliser, il subit un choc en retour dévastateur, pouvant aller jusqu'à tuer son utilisateur. Les compagnons décident donc d'aller voir le vieux Tôtôsaï pour avoir son avis sur la question, le sabre est-il détraqué ? Mais ce dernier l'inspecte, et sait que le soucis ne vient pas de l'arme, qui est capable d'absorber autant de pouvoir qu'il le souhaite... mais juste que Inu-Yasha, en tant que Hanyo, ne peut pas en faire de même. Informé de ce fait, Naraku décide pourtant de laisser son ennemi faire, attendant avec impatience son duel contre Mouriômaru. Avec l'obtention de ce nouveau pouvoir, les événements se bousculent enfin dans Inu-Yasha. Ce dernier a trouvé un pouvoir qui le limite, et donc devra pousser sa détermination à rude épreuve pour atteindre son objectif. De l'autre côté, les vies de ses adversaires, qui semblaient jusque là hors de portée au niveau de la puissance, sont maintenant belles et bien visées. À présent que le dernier volume est paru au Japon, le cinquante-sixième, on va enfin espérer connaître la fin de toute cette histoire qui traîne en longueur comme ce n'est pas possible depuis au moins trente volumes. Car effectivement, Rumiko Takahashi a abusé en faisant durer son histoire bien plus que de raison, en faisant répéter les événements, et en multipliant les histoires annexes inutilement. Le résultat, c'est que les lecteurs n'ont pas suivi, et que poursuivre l'édition de cette série devient chère. La preuve, c'est que deux volumes en un peu plus d'un an, c'est un rythme de parution vraiment lent pour une série qui est terminée dans son pays d'origine. Pourtant, c'est peut-être en augmentant le rythme que les lecteurs se replongeront dans la lecture, assurés d'en connaître le dénouement. C'est le choix que l'éditeur, Kana, devra faire en son âme et portefeuille.
Ecrite par , le 28 Septembre 2010 à 12:09 dans la rubrique .
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