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The redemption of Althalus

 
  Eddings, David & Eddings, Leigh
Edition : Voyager 2001, 913 pages ISBN : 0-00-651483-9
 

Paru en français il y a peu, mais en deux volumes, cette bible de David Eddings mérite d'être lue en une seule fois, c'est pourquoi je vous recommande de le lire dans le texte. Outre le plaisir de suivre la quête d'Althalus sans avoir à attendre la sortie du deuxième tome, le style de l'auteur, ses dialogues empreints d'humour et ses descriptions caricaturales sont encore plus savoureuses en VO !

Même si les traductions des livres de Eddings (voir La Belgariade & La Mallorée) sont excellentes, laissant la part belle aux répliques cyniques et à l'humour dévastateur des personnages, la lecture dans le texte n'est pas difficile, le style fluide et coloré ne pose pas de problèmes à un lecteur anglophone, même débutant.

En ce qui concerne l'histoire en elle-même, le début en est classique, Althalus, jeune voleur pas particulièrement exceptionnel, mis à part sa chance inaltérable, mène sa vie de truand aux quatre coins de ce monde imaginaire, tuant quand le besoin s'en fait sentir, vivant de rapines et de mensonges. Rien de particulièrement troublant, donc. Mais l'histoire se corse vite lorsque la chance d'Althalus l'abandonne et que la misère le pousse à accepter une mission saugrenue : voler un livre dans la Maison du Bout du Monde. Althalus partira donc chercher cette maison, il trouvera le livre et un curieux chat parlant, qui l'enfermera une éternité dans cette maison. Lorsque Althalus pourra enfin sortir, l'histoire commencera réellement, car l'ancien voleur aura appris à lire, et, accompagné de son chat Emeraude, il partira dans une immense quête pour retrouver ceux qui l'aideront à vaincre un dieu maudit exilé.

Fidèle à leurs principes, David et Leigh Eddings nous guident dans une quête mystique proche de celle du Graal. Rien de novateur, donc, on retrouve le héros, accompagné par des second rôles sympathiques et imagés, des méchants très méchants, de la magie, une touche d'humour, et une touche d'amour.

Les vieilles recettes sont celles qui fonctionnent le mieux, et le couple Eddings exploite sans vergogne cette branche, reprenant les thèmes qui ont fait leur succès et les mélangeant pour une nouvelle histoire de rédemption.

Ceux qui ont aimé La Belgariade et la Trilogie des Joyaux aimeront également celui-là, ceux qui aiment les chats se prosterneront devant Emeraude, et ceux qui aiment rêver partiront aux côtés d'Althalus et de ses amis.

Ceux qui cherchent autre chose qu'une histoire classique de lutte contre le Mal et de quête pour sauver le monde, tournez la page, cette histoire ne vous apportera rien de plus !

Ecrite par Zaahne, le 22 Novembre 2004 à 12:11 dans la rubrique Roman Fantasy .
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Ecrit par Zakath-Nath le 11 Février 2005

Fan de la Belgariade et de La Mallorée, j'avais également aimé les aventures d'Emouchet, même si la trilogie des Périls ressemblait trop à mon goût à la Mallorée.

Je me suis néanmoins précipitée sur ce livre, et j'ai été bien déçue. Bon, ça commence de façon sympathique, avec les déboires d'Althalus...

Mais vers le premier tiers du roman, ça se gâte. Les Eddings ont pris leur Rythme de croisière, le groupe de héros est formé, on sait qui ils vont affronter, et ils le font avec une facilité déconcertante (enfin, pas tant que ça, vu la bêtise des méchants). Ce n'était pas l'originalité qui faisait la force des premiers Eddings, mais les savoureux dialogues. Malheureusement, il semble à court de nouvelles vannes et les répliques sont aussi prévisibles que le scénario.

Je n'ai pas lu les Eddings plus récent, craignant une nouvelle déception d'un auteur qui est resté longtemps mon préféré. Espérons que le courage me prennent d'en ouvrir un un jour pour m'apercevoir que je me suis trompé, et que cette rédemption d'Althalus n'était qu'une petite baisse de régime.

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