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Atomik Circus - Le retour de James Bataille

 
  Atomik Circus
 

Bosco (J.P. Marielle) est l'heureux propriétaire d'un bar perdu au milieu de "nul part en bled". Alors qu'il organise régulièrement un festival musical où se produisent tout est n'importe qui, surtout sa fille, Concia (Vanessa Paradis), il invite un cascadeur à moto, James Bataille(Jason Fleming), qui tombe amoureux de la belle.
Le père n'est pas content, et profitant de l'accident du Roméo qui envoie sa moto dans le pub et le fait exploser, le fait mettre en prison.
Peu convaincu du bonheur qu'il peut trouver à effectuer des travaux forcés, il s'échappe pour retrouver celle qu'il aime.

Une météorite tombe à proximité de la caravane de Concia.

Juste après l'évasion, M Chiasse (Benoit Poelvoorde), obsédé sexuel aux manières de flambeur, est obligé de s'arrêter, par hasard, dans le bled sus-nommé et en la voyant n'a plus qu'une idée : lever la belette.
Ce qui tombe bien c'est justement le fait que le papa de la belle a relancé l'idée du festival, qu'il veut cette fois plus mûr et sérieux. Et M Chiasse de se faire passer pour un impressario.

J'en ai déjà beaucoup dit, alors je m'arrête.
Les frères Poiraud signent quelque chose qui ressemble à un film, complétement barré du début à la fin, mélange de série Z et d'idées farfelues.
J'ai ri d'un bout à l'autre devant ces personnages burlesques, ce scénario branque, et la réalisation hallucinante ; sans oublier les chansons type rock aux paroles à pleurer (de rire si on les prend au second degré).
Vanessa Paradis joue bien, Benoit Poelvoorde campe admirablement son rôle de type ignoble et pervers.

Attention F.N.I. (Film Non-Identifiable) !
J'ai pensé à Ed Wood en le voyant, alors surtout ne pas aller le voir pour réfléchir.

Ecrite par Félix Ze Barde, le 28 Juillet 2004 à 08:07 dans la rubrique Films & Series TV .
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Ecrit par Black bear le 17 Août 2004

Que ceux qui on loupé ce chef d'oeuvre du cinéma de série Z se morfondent dans leur coin. Car ce n'est pas un film que vous avez raté, mais bien une expérience mystique de communication directe avec "le barré gore ovniesque du nowhere".
Et que dire de la scène finale, de la multiplication des Vanessas, vraiment trop fort. J'adore

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