Alias - Saison 2
		Alias

Après le premier contact lors de la première saison, nous retrouvons Sydney Bristow plus en forme que jamais et toujours autant déterminée à anéantir le SD-6 avec l'aide de son père et la CIA. Seulement, les choses vont se corser pour elle lorsque sa mère, Irina Derevko, qui se cachait derrière le nom de " Monsieur " lors de la première saison, va se livrer à la CIA pour coopérer.

Les sentiments de Sydney vont être mis à rudes épreuves, surtout que Sloane va continuer son manège au sein du SD-6 dans des buts qui ne seront pas tout de suite rélévés. On attend donc une saison forte, pleine de rebondissements et qui confirme les impressions que l'on avait eu pour la première. Et on est servi. On voit Jennifer Garner enfin à l'aise dans son rôle, surtout dans les scènes d'action et de combat (le combat de la fin de saison est, pour une fois, bien filmé pour un combat entre femmes). Son père prend plus de place dans la série et nous dévoile des facettes de sa personnalité que l'on ne supposait pas. L'apparition de la mère de Sydney est, bien évidemment, l'énorme événement de la saison, mais il n'est pas le seul, loin de là.

On poursuit aussi la quête de Rambaldi, qui va prendre, parfois, des proportions un peu exagérées. Mais tout cela reste divertissant, et on passe sur les incohérences et la dimension extravagante pour se laisser embarquer dans l'histoire et l'action. Au final, c'est une série qui prend ses marques et qui va vous surprendre. À la fin de la saison, vous aurez même une fâcheuses tendance à rester sur le cul.

Ah, j'oubliais... la vision que les membres de cette série ont des français est quelque peu... comment dire... disons que voir Sark déguisé en gendarme avec encore la cape dans le dos comme la maraichaussée dans le temps, ou encore voir un français passer avec un berret plus énorme qu'autre chose m'a fait mourir de rire.